C’est là qu’il
rencontre Bruno Solo avec lequel il
présente plus tard le Top 50 et Le Plein
Super sur Canal+. Mais c’est sur M6
avec l’émission Caméra Café que le duo
s’installe définitivement dans l’esprit
du public.
Il y a cinq ans, Le Bolloc’h choisit de se réaliser autrement, un rêve
d’enfance puis d’adolescence lorsqu’il s’achète comme premiers 33 tours des
disques des Pink Floyd. Il peaufine ses choix en découvrant Santana et surtout
Willy Deville pour sa reprise latino de «Hey Joe».
Le coup de grâce, il le reçoit
dans les années 1980 en écoutant Gipsy Kings. Deux albums racontent la jeune
histoire musicale de Le Bolloc’h : «Mi Café» et «Fiers et susceptibles».
Flamenco
gitan à mettre le feu sur scène pour quelqu’un qui considère la musique comme
une maladie qui aide à vivre.